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Fin juin, j’ai participé pour la première fois à un blogtrip en Savoie à l’invitation de la Maison du Tourisme du Pays d’Albertville. Cinq autres blogueuses voyage faisaient partie de l’aventure, toutes issues du collectif EnfranceAussi, dont Virginie, la locale de l’étape qui a co-organisé le séjour.
L’idée de découvrir un nouveau coin était déjà pour moi source de plaisir. Mais cette fois-ci, l’aventure avait une saveur particulière avec la rencontre d’autres blogueuses (oui, parce qu’il n’y avait que des filles) que je ne connaissais que via le collectif EnFranceAussi et par quelques échanges au fil des réseaux sociaux.
1 bus, 1 métro et 3 trains !
C’est ainsi que j’ai rempli mon sac et quitté maison et famille un vendredi matin à 6h15 ! Un voyage qui ne commençait pas sous les meilleurs auspices, un véritable déluge s’abattait chez moi après des journées d’intense canicule. C’est trempée jusqu’aux os que j’embarquais dans un 1er bus ; à peine le temps de commencer à sécher que je courrais vers la station de métro, direction la gare de Toulouse Matabiau. Le voyage a commencé véritablement ici avec l’enchaînement de trois trains, pas moins. Un temps que j’ai apprécié car il m’a permis de profiter du paysage : ainsi ont défilé sous mes yeux la cité de Carcassonne, le pont et la cathédrale de Béziers, les flamants roses du côté de Sète puis le Gard et ses paysages vallonnés, enfin la vallée du Rhône. Dans ce premier TGV, j’ai repris quelque peu espoir. La pluie se faisait moins intense et Virginie m’assurait qu’à Albertville, le temps était prometteur. Mon premier changement de train s’est fait à Valence TGV… un peu déçue au début, car la ville est loin et je n’ai pas pu profiter de mon temps « d’escale » pour m’y rendre. J’ai par contre découvert une gare moderne, construite sur plusieurs niveaux et toute en longueur qui permet d’interconnecter les trains express régionaux et les TGV. Et chose assez surprenante, elle est en pente ! Une pente de 3 % pour passer en douceur au-dessus des voies. J’ai bien aimé l’architecture de la gare, son ossature métallique et ses immenses baies vitrées. Il y a un coin détente avec des chaises longues installées comme dans des bulles et une voix qui invite à se laisser aller. Par contre, j’ai trouvé qu’elle manquait de commerces et de services : une seule boutique pour acheter à manger et des toilettes payantes… Pas grave me dis-je. Je me rattraperai à la gare de Montmélian, ma deuxième escale pour regarnir mon sac en gâteaux et boissons car je commençais à être à court.
2h15 plus tard, j’embarquais dans un premier TER, direction Montmelian. Les paysages ont très vite changé. Le relief est devenu de plus en plus prononcé. Arrêt à Grenoble où j’ai aperçu ses fameuses boules en guise de cabines téléphériques. Puis la voie ferrée longe le massif de la Chartreuse, le dépaysement est déjà au rendez-vous. Quand j’avais regardé sur la carte, Montmélian me donnait l’impression d’être une petite ville… mais c’était sans compter que la gare est complétement excentrée, presque en pleine campagne ! D’ailleurs, le trafic ne doit pas être très intense par ici. Pour changer de train, il faut traverser les voies à pieds. Quant à la gare… elle est très petite, mais vraiment très petite, et fermée, avec juste un distributeur de boisson. Bref, j’ai soif !
J’en profite pour recharger mon téléphone et échanger avec Tiphanya, la seule blogueuse que j’ai déjà rencontrée lors d’un séjour dans sa ville, Mulhouse. Nous partageons nos photos de train ! Il est enfin temps de monter dans mon 3ème et dernier train, destination Albertville. Un trajet d’un peu plus de 30 mn, magnifique, au milieu des montagnes et des forêts, un paysage bien vert, qui change de chez moi où la chaleur a déjà bien cramé les prairies.
16h15 ! Ça y est, me voilà en gare d’Albertville, aussi excitée qu’une gamine. Virginie et Martine m’embarquent pour la Maison du Tourisme où je retrouve Tiphanya, Lucie et Estelle. Je ne le sais pas encore, mais je n’aurais désormais plus une minute de libre jusqu’à dimanche soir. L’emploi du temps enchaîne visites, rencontres, dégustations et partages en temps réel sur les réseaux sociaux.
Première soirée au grand air
C’est à la Maison du Tourisme du Pays d’Albertville que tout notre groupe se retrouve, accueilli par Sabine qui nous a préparé plein de documentations et offert de succulents jus de fruits à la pomme et à la poire (je n’aurais pas voyagé en train, j’en aurais bien ramenés). Après un briefing sur le programme du week-end, nous partons en direction du col de l’Arpettaz. Très vite, la ville est derrière nous et nous nous retrouvons au milieu des montagnes, empruntant une route étroite et sinueuse. Je découvre la situation avantageuse d’Albertville, nichée au cœur des Alpes en Savoie, à la confluence de quatre vallées : la Tarantaise, le Beaufortain, le Val d’Arly et la Combe de Savoie. Une situation qui en fait un lieu privilégié pour rayonner et qui lui doit donc la qualification de camp de base.
Pour cette première soirée, Sabine nous a réservé une chambrée au refuge du col de l’Arpettaz, un refuge accessible en voiture en dehors de la période hivernale. Une chambrée, certes, mais beaucoup plus confortable que ce qu’on trouve habituellement dans un refuge. La répartition des lits faite (tout s’est bien passé, je vous rassure), nous avons droit à un repas à base de spécialités très locales comme la croziflette ou Mandallaz (prononcer Mandalle), du nom d’une montagne voisine, à base de pommes de terre servies avec une crème aux fines herbes. Un régal ! Le repas a aussi été l’occasion d’échanger avec Manu, le propriétaire du refuge. Et aussi l’occasion de notre premier boomerang en train de trinquer… le premier d’une longue série ! Nous devions ensuite bénéficier d’une observation des étoiles avec le club d’astronomie. Malheureusement, la soirée a été annulée en raison de la présence de nuages… qui se sont finalement entièrement dissipés à la nuit tombée. Grosse déception !
Mais pas de quoi se laisser abattre. Jusqu’ici, nous n’avions pas encore eu le temps de faire vraiment connaissance. L’occasion pour moi de lance un brise-glaces pour que chacune se présente à partir d’un personnage. Un moment qui a permis de lever un coin du voile sur nos différentes personnalités et nos aspirations. Pour compléter ce moment de cohésion, Virginie nous a proposé du light painting. Imaginez-nous en train d’écrire Albertville avec nos lampes de poche dans la nuit noire au milieu des montagnes. Et on a plutôt bien réussi !
Photo ©Virginie
De montagnes en musées
5 heures du matin, la lumière pointe dans la chambre. Le ciel a l’air dégagé. Mais tout le monde dort… je patiente jusqu’à 7 heures pour ne pas réveiller les copines. Puis je saute dans mes vêtements, récupère mon appareil photo. Me voilà dehors complètement subjuguée par la lumière matinale et le paysage environnant. Il y a aussi deux troupeaux, un de chèvres qui se font alpinistes sur les pentes abruptes du Mont Charvin et un de vaches, qui se défoulent et courent allègrement dans les pâturages faisant joliment raisonner leurs cloches.
Après un bien agréable petit déjeuner en plein soleil sur la terrasse du refuge, nous partons à l’assaut du Praz-Véchin pour une très belle randonnée. Nous y découvrirons de fabuleux points de vue, dont un sur le majestueux Mont-Blanc et l’Aiguille du midi. Nous apprendrons également le nom de nombreuses fleurs grâce à notre guide de montagnes Olivier. Il nous en fera même goûter et nous proposera une tisane à base de plantes locales une fois arrivées au sommet. Pour tout savoir sur cette randonnée, n’hésitez pas à aller lire mon article !
Après cette marche de 8 km et un pique-nique en pleine nature, point question de se poser. Nous sommes attendues à Ugine dans un endroit bien intrigant : une église transformée en centre d’art et baptisée Curiox. Le bâtiment, construit dans les années 70, est très épuré en forme de triangle. A l’époque, l’idée était de créer une deuxième église, proche des usines d’Ugine et des cités ouvrières implantées dans la partie basse de la ville. Une manière de séparer aussi les classes sociales, les ingénieurs habitant dans la partie haute de la ville et fréquentant l’église originelle. Le bâtiment a désormais une vocation culturelle. Les vitraux de la façade ont été remplacés par de grandes baies vitrées qui permettent de connecter visuellement les espaces intérieur et extérieur. Lorsque nous y sommes allées, le centre exposait les photographies de Sylvie Bonnot. Pour cette exposition « Le sens de la pente », nous avons bénéficié des explications de Marie Bondy, médiatrice du centre, qui nous ont permis de saisir les différentes intentions de l’artiste, un moment passionnant. Les photos de Sylvie Bonnot traduisent une sensibilité envers la nature et tout particulièrement les arbres ; une sensibilité qu’elle doit probablement en partie à son père qui était forestier. Elle a une manière très particulière de les mettre en valeur, jouant avec la lumière, avec la couleur et le noir et blanc, mais aussi avec les matériaux qu’elle utilise comme support, comme un banc en bois, du plastique ou plus classiquement du papier. Mais ce qui est encore plus surprenant, c’est sa façon de travailler ses tirages en les recouvrant de gélatine qu’elle décolle ensuite. Ainsi, elle a utilisé un imposant tronc de noyer qu’elle a peint en blanc puis a travaillé directement sur ce support son tirage photo à l’aide de la gélatine. Le résultat donne l’impression de voir une mue de serpent. Si vous passez par Ugine, n’hésitez à consulter la programmation de Curiox, et aller y jeter un œil, l’accès y est gratuit.
Allez hop, on enchaîne ! Sabine nous embarque dans l’ambiance des JO. Retour sur Albertville et plus particulièrement à Tremplin 92, centre d’interprétation de la montagne et de l’olympisme. Une partie de l’exposition est consacrée aux JO d’hiver de 1992. Les différents espaces proposés permettent de plonger dans l’ambiance de l’époque et de vivre différentes expériences, telles des douches sonores, témoignages d’athlètes de l’époque, ou encore une descente virtuelle en bobsleigh, à tester absolument (dommage toutefois que le bobsleigh ne soit pas fixé sur des vérins pour amplifier les sensations). L’exposition met aussi en valeur le patrimoine naturel de la région en présentant les différentes caractéristiques du paysage et en proposant des ateliers olfactifs. Autre expérience virtuelle à ne pas manquer, le survol du Beaufortain en parapente, l’occasion de découvrir depuis le ciel l’impressionnant Barrage de Roselend, toucher du bout du pied le sommet de la Pierra Menta avant un atterrissage en douceur. Cerise sur le gâteau pour ceux que les JO passionnent, une exposition temporaire, installée jusqu’au 1er octobre 2022, célèbre les 30 ans des JO de 1992. De nombreux objets cultes ont été rassemblés pour l’occasion : mascotte, costumes officiels utilisés lors de la cérémonie d’ouverture et portés par les sportifs, gadgets, photos…).
Photo ©CuriosityEscape
Photo ©CuriosityEscape
Après cette intense journée, Sabine nous a prévu un petit moment de détente au gîte des Sources à Arvey, à 9 km d’Albertville, notre point de chute pour la nuit. Le gîte dispose d’un sauna et d’un jacuzzi et même d’une salle de yoga. Nous avons bénéficié d’une mini séance de réflexologie et de naturopathie. Pour ma part, j’ai tout particulièrement apprécié le jacuzzi. Le gîte propose cinq chambres toutes joliment décorées, qui donnent sur une grange et sur le jardin ; certaines avec salle de bains, d’autres avec salle de bains partagées.
Quelque peu ragaillardies, nous avons pris la direction du plan d’eau de Sainte Hélène sur Isère où nous étions attendues à la base de loisirs JetRoad73. Ici, plusieurs plans d’eau se succèdent et accueillent des activités variées comme le jet ski, le flyboard, le pédalo, ; il y a même de petits bateaux pour les enfants. Pour notre part, ce ne sont pas les activités nautiques que nous avons testées, mais le restaurant ! Entièrement décoré à l’américaine, avec néons et juke-box, il possède une belle terrasse qui donne directement sur le plan d’eau. Nous y avons dégusté des fritures et des poissons péchés dans le lac le jour même. L’occasion de faire encore un boomerang pour les stories instagram.
Deux villages et une tyrolienne
7h30 (du matin), tout le monde est sur son téléphone, qui pour une story instagram, d’autres pour un post facebook ou twitter. Si vous voulez jeter un œil à l’ambiance au fil de l’eau, vous pouvez retrouver toutes nos publications sur les réseaux sociaux de chacune (bon, on a surtout inondé instagram de stories:) ).
C’est une matinée culturelle qui nous attend avec en premier lieu la visite de Conflans. C’est Pascale Dubois, une guide conférencière passionnante qui nous accompagne ; j’ai beaucoup aimé ses explications avec des mises en perspectives très intéressantes.
Conflans est une cité médiévale rattachée à Albertville, qu’elle domine, car perchée sur un éperon rocheux. Elle assurait autrefois un rôle de protection de la vallée de la Tarentaise. Elle a conservé de nombreux témoignages de son passé. Ainsi pour pénétrer dans le bourg, il faut franchir une porte médiévale. On découvre alors une rue étroite bordées de maisons, toutes construites en schiste… sauf une qui avec ses briques rouges affiche des airs de toscane. Après avoir appartenu aux Bernardines puis à des soldats, cette maison a été transformée en musée d’histoire locale et d’ethnographie régionale.
Les façades des maisons sont ornées de belles enseignes en fer forgé. Pascale nous explique que le terme « enseigne » vient du latin « signum ». L’idée est de donner un signe, une information évidente…l’occasion de faire un jeu de devinette pour trouver le sens caché de certaines : ainsi « Au Lion d’or » est en fait une image indiquant qu’il est possible de dormir à cette adresse. Vous l’avez ? « Au lit on dort » ! Autre exemple « o 20 100 o » : pour comprendre, il faut lire à haute voix… Si vous trouvez la réponse, mettez-la en commentaire ! Je vous mets la photo pour vous aider un chouia. Ainsi, ces enseignes permettaient aux gens ne sachant pas lire de comprendre ce que la boutique pouvait leur offrir.
Il y a encore plein d’autres belles choses à voir par ici, comme l’église et sa façade peinte qui date du 18ème siècle. Enfin, il ne faut pas quitter Conflans sans aller faire un tour au jardin public, une magnifique esplanade d’où la vue embrasse Albertville. Ici se trouvait autrefois un château dont il ne subsiste aujourd’hui que la tour Sarrazine. Regardez bien, elle possède trois portes… l’une au-dessus de l’autre, percées à des époques différentes.
Puis Sabine et Pascale nous emmènent à la découverte du village de Queige où une jolie surprise nous attend. Nous sommes accueillies par le maire, très heureux de valoriser son village ainsi auprès de nous. Queige est un village escarpé de 900 âmes dominé par le Mont Mirantin ; les rues sont bien pentues. Ce que le maire veut nous faire découvrir tout particulièrement, c’est l’église Sainte Agathe. L’aspect extérieur est relativement simple, mais l’intérieur, de style baroque, est de toute beauté et richement décoré, tel un « livre d’images » ; car c’est ainsi que la culture catholique a pu en partie se diffuser. Au plafond, on peut découvrir de somptueuses fresques représentant les docteurs de la loi d’Occident, Saint Jérôme qui traduit la bible en latin ou encore Saint Grégoire qui a mis en place la liturgie et les chants grégoriens. Cette église possède aussi une tribune en hauteur en forme de U, particularité du Beaufortin.
Mais la véritable surprise que nous réserve le maire se situe dans le clocher. Un escalier étroit mène dans la charpente où nous découvrons Marie-Françoise, Sainte Agathe, Lucie-Joséphine et Marie-Cécile, quatre magnifiques cloches. Et comme il est midi, deux des quatre cloches se mettent en branle. Puis le clochard (celui qui actionne les cloches) nous offre un beau concert en les faisant toutes sonner. A savoir, ce clocher est ouvert à la visite (renseignements auprès de la mairie) et vraiment, je vous la recommande.
Midi, l’heure d’aller déjeuner tout en bas du village de Queige. Ici se trouve un joli plan d’eau avec un lac en forme de cœur. Plusieurs aménagements sont disponibles, un camping avec des tiny houses choupinou (que Martine n’a pas résisté à tester le soir même), des chaises longues, un espace couvert, une aire de jeux… et de grandes tablées pour déjeuner avec une belle vue sur les montagnes et le village. Un foodtruck, Les Croës du Beaufortin, permet de se restaurer avec des plats particulièrement goûteux et originaux, une adresse à retenir !
Voilà que sonne bientôt la fin de notre blogtrip. Tandis que certaines reprennent la route, d’autres (dont moi!) prennent le chemin du Fort Tamié, place forte, construite en 1872 sur un éperon rocheux pour protéger Albertville d’éventuelles invasions provenant d’Italie. Une fois les fortifications franchies, on peut découvrir des casemates, des tunnels, des salles souterraines. C’est aussi une base d’accrobranche. Pour clore ce blogtrip, je décide de sortir de ma zone de confort et de m’élancer dans le vide suspendue à une tyrolienne de 300 mètres de long avec une vue XXL sur le Mont-blanc (un grand merci à Tiphanya pour avoir immortalisé ce moment:) ).
Photo ©Tiphanya
Ne pouvant repartir dans mon sud le soir-même, j’ai opté pour une nuit au Lotus Blanc à Albertville. Il s’agit d’une chambre d’hôtes qui propose des chambres et aussi des studios, entièrement refaits à neuf. La décoration y est moderne, l’accueil de Thi Tien très sympathique et cerise sur le gâteau, la baignoire fait jacuzzi. Lorsque j’y suis passée, les travaux étaient encore en cours, mais les aménagements envisagés semblent très prometteurs.
Le mot de la fin
Un blogtrip, c’est un emploi du temps intense ! Des journées qui commencent à 7 heures du matin, branchées sur les réseaux sociaux, qui enchaînent visites classiques et insolites jusque tard dans le soir. C’est surtout de belles rencontres, des regards croisés, des sensibilités différentes, une bien belle expérience.
Ce séjour a été réalisé sur invitation de la Maison du Tourisme d’Albertville. Le programme a été coorganisé par Sabine de l’Office du Tourisme et Virginie, la locale de l’étape. Un grand merci à elles deux pour ces beaux moments. Les opinions et avis exprimés dans cet article me reviennent.
Le coin pratique
- Refuge-auberge-col-arpettaz, une belle expérience, un lieu facilement accessible et de jolies randonnées tout autour pour tous les niveaux,
- Jet Road73, restaurant à Sainte Hélène-sur-Isère, situé au bord d’un plan d’eau
- Gîte des Sources à Arvey, qui propose aussi des activités comme le yoga, la naturothérapie ou le réflexologie,
- Le Lotus Blanc à Albertville, une chambre d’hôte très confortable à 5 mn à pied de la gare
- Curiox , un lieu très orignal à découvrir à Ugine
- Aperçu des cloches de Queige
- J’ai apprécié la convivialité de Sabine et la qualité de l’accueil de la Maison du Tourisme du Pays d’Albertville,
- J’ai beaucoup aimé les explications d’Olivier du bureau des guides (qui vient tout juste d’être créé) lors de notre randonnée à Praz-Véchin
- J’ai été passionnée par les explications de Pascale de la FACIM, fondation qui propose des activités pour tous en Savoie : visites guidées, découvertes touristiques, randonnées, rencontres culturelles.
- Et, voici les autres blogueuses qui ont participé à ce blogtrip : Virginie, Estelle, Lucie, Martine et Tiphanya.
Estelle
Que de belles aventures vécues lors de ce roadtrip. Je suis ravie d’avoir fait ta connaissance.
Je retiens plein de beaux moments et belles expériences comme le light painting, la cité médiévale de Conflans, l’expérience des cloches, la tyrolienne, la descente en bobsleigh…
C’est marrant tes remarques sur la gare TGV de Valence. En tant que valentinoise d’origine, on l’aime pas trop cette gare TGV. Elle est excentrée et le parking est payant, ça n’avait aucun sens de la construire ici.
Renée
Merci Estelle, heureuse d’avoir croisé ta route également. Au retour, les TGV ont été deviés sur les voies SNCF classiques. Je suis donc passée par Valence ville, gare bien plus sympa mais je n’ai pas eu le temps de découvrir la ville malheureusement.
Virginie
Merci de ta participation ! Cela m’a fait rire, car quand tu écris l’intensité du blogtrip au niveau du gîte, sur la photo je suis devant la porte à discuter, et Martine est à la fenêtre à faire une photo 😀 En fait, je faisais rien de mon côté 😉
Renée
Ah mais, justement, les 4 autres, elles sont concentrées, cachées et elles bossent ! ?